Le Journal de Saône et Loire, Bourgogne, 12 décembre 2012
Mardi matin, elle rendait visite aux élèves du RPI Jean-Tardieu d’Ameugny, leur offrant un petit récit, et répondant à toutes leurs questions sur le Québec. Le soir même, salle communale, c’est devant un public totalement concentré, qu’elle a présenté Debout dans le Bleu: un récit intime, poétique et politique d’une fille, Arianne, qui apprend à prendre la parole, avec pour compagnon de route, un fleuve et un village. Ses personnages attachants et l’énergie de l’interprète ont à la fois séduit, ému et amusé le public.
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Le Journal de Saône et Loire, Bourgogne, 8 décembre 2012
Avec son sourire, ses yeux pétillants et son délicieux accent, cette Québécoise qui a basculé dans le conte voici tout juste 10 ans, a entraîné le public dans son univers où se mêlent poésie et humour, amour des mots et magie de la parole, émotion et imaginaire, fables de la vie et surréalisme. Son Madame B a particulièrement été applaudie par des spectateurs tombés sous le charme.
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Le Mouton Noir, journal indépendant, Rimouski, Québec, 9 mars 2012
Danielle Brabant, c’est cette petite femme aux yeux pétillants dont les mots semblent jaillir comme d’une source vivante, inépuisable. Une femme qui, seule sur la scène, sans artifices, vidéo ou accessoires, sagement vêtue d’une petite robe noire, est capable d’entraîner un public dans une histoire complexe tissée de poésie, d’humour et de réflexions profondes sur le monde. Pendant une heure, la magie de son récit porte les spectateurs sur un tapis volant de mots tandis qu’ils rient, pleurent et partagent même des bouts de leur propre histoire.Et on apprend qu’elle a été invitée à conter en France, en Belgique, en Suisse, aux îles Canaries, en Colombie et en Argentine, et qu’elle poursuit son chemin comme si elle avait une étoile pour guide. Quand on a été porté une fois par le fil de sa voix, on n’est pas vraiment surpris, c’est dans l’ordre des choses. Il faut bien le reconnaître, cette voisine, cette amie d’amis, celle qu’on croise parfois à l’épicerie du Bic, notre conteuse de village-devenu-arrondissement, est une conteuse pour le monde.
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Ouest-France, pages Côtes d’Armor, Bretagne, 26 novembre 2007
La conteuse arrive avec sa gestuelle, son jeu théâtral, à captiver le public durant près d’une heure et demie! L’esprit des lieux est un spectacle touchant, drôle, magique. Plein d’émotion aussi.
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Ouest-France, édition de Saint-Brieuc, Bretagne, 28 novembre 2007
Avec ses personnages sensibles et attachants, une énergie communicative, de l’humour, de l’émotion, la Québécoise Danielle Brabant a fait honneur à la tradition du conte et au génie de la narration tout au long de son spectacle.
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Le télégramme, édition Guigamp, Bretagne, 12 décembre 2007
Danielle Brabant, une Québécoise, a transporté le public dans un monde irréel avec toujours un clin d’oeil vers le réel. Dans L’esprit des lieux, le fantastique et la réalité se sont souvent côtoyés. Un conte passionnant qui a fait rêver le public penvéannais.
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Le magazine Univarts, Paris, 2006 – Entrevue
Lionel Cauchois : Qu’est-ce qui vous fait vibrer dans ce métier de conteur d’histoire ?
Danielle Brabant : La liberté. L’extraordinaire et merveilleuse liberté qui me permet de choisir l’histoire que je veux, de la réécrire et ou la recontextualiser comme je le veux et de la conter comme je le veux, et d’en écrire de mon cru en plus. C’est fabuleux ! Et cette liberté peut s’exercer jusqu’à l’ultime moment puisque je peux, pendant que je conte, changer quelque chose dans l’histoire ou dans ma manière de la conter. Il est même primordial de pouvoir le faire, de savoir s’adapter au public, à l’atmosphère particulière de chaque soirée de conte. Par contre, cette immense liberté s’accompagne d’une responsabilité tout aussi grande. Je mets beaucoup de soin à choisir mes contes. Je ne veux pas conter n’importe quoi, ni conter seulement pour divertir. Je crois que prendre la parole est un grand privilège et qu’il faut en être conscient. A chaque conteur après de faire ses choix.
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Les commentaires de professionnels de la culture
Aucun ne porte le titre de critiques. Mais du conte, ils en ont vu! Ils ont un avis éclairé sur la question.
Les commentaires du public
Lors des représentations de mes deux grandes créations (grandes par la longueur ! ce sont deux histoires de 75 minutes chacune), j’ai eu la bonne idée d’apporter des cahiers et d’inviter les spectateurs à y inscrire leurs commentaires après le spectacle. Au fil du temps, j’ai ainsi recueilli des perles, qui reflètent bien la couleur et de la saveur de mes histoires et qui disent surtout comment ces histoires touchent les gens. À lire dans les pages Debout dans le bleu et L’esprit des lieux.